Elian Cuvillier(1) part ici de deux affirmations, l’une résultant d’un constat littéraire et l’autre pouvant légitimement se prévaloir des travaux d’exégètes et de critiques littéraires très divers :
- L’Apocalypse est un livre de “visions”. L’auteur ne cesse d’affirmer qu’il “voit” et qu’il doit écrire ce qu’il “voit”.
- L’Apocalypse se présente comme une contestation du système impérial considéré comme “idolâtre” (un mot qui n’est pas employé par Jean mais que l’on utilise pour qualifier l’idée qu’il se fait du pouvoir romain).